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Ghost Dog

Tifoso Juventus
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  1. Non so quanto può risultare convincente ma il giornalaccio dello sport, nel solito articolo quotidiano della sezione locale, parla di... Si capisce solo che le parti più disparate spingono verso un'unica direzione e tendono a sporcare l'immagine del tranquillissimo Zingaretti.
  2. EST-IL FIDÈLE À SES RACINES? ROISSY, SA SOURCE «Je suis Paul, Paul de Roissy-en-Brie, Paul du quartier. Je ne suis pas une star, je ne suis personne, je ne suis rien du tout.» Ces mots prononcés dans nos colonnes en mai 2013 avaient le mérite de poser les fondements d’une identité forte et revendiquée. Depuis, les flashes n’ont cessé de crépiter, ses buts et ses exploits sont passés en boucle sur les télés du monde entier, les millions d’euros sont arrivés et... rien n’a véritablement changé. Les faits récents sont là pour le prouver. R.L.S. City Boys. Le 18 janvier 2014, Paul Pogba vient d’inscrire le quatrième but de la Juve face à la Sampdoria (4-2). Les (télé)spectateurs et les observateurs s’interrogent. Que peuvent bien vouloir signifier ces mots inscrits sur le tee-shirt dévoilé par le joueur français au moment de célébrer sa frappe victorieuse? R.L.S. pour Roissy la Source, le surnom donné à sa ville pour exprimer une fierté partagée, celle d’être à l’origine, «à la source» du talent. La Seine-et-Marne, Roissy-en-Brie, son premier club, l’USR, son quartier la Renardière, tout cela a fait Paul Pogba. Et tout cela fait toujours partie de Paul Pogba. Pendant le Mondial brésilien, la ville entière a vibré pour le gamin du coin: tee-shirts à son effigie créés et distribués, affiches d’encouragement placardées dans les rues. Le dimanche 6 juillet, à son retour du Brésil, juste avant de partir en vacances, le joueur de l’équipe de France, récupéré par son père à l’aéroport du Bourget, revient chez lui. Très rapidement, l’idée de remercier les Roisséens fait son chemin. Le lendemain après-midi, la Grande Halle de Roissy-en-Brie est pleine à craquer pour fêter son héros local. Après avoir reçu la médaille de la Ville, Pogba prend le micro, puis la pose pour quelques photos, offre à la mairie un maillot dédicacé des Bleus, répond aux questions des plus jeunes et entame même quelques pas de danse sur la chanson du DJ guinéen Oudy 1er composée en son honneur. «Cet accueil l’a vraiment touché, se souvient Sambou Tati, le président de l’US Roissy-en-Brie, que tout le monde là-bas appelle “Bijou’’. Il y avait beaucoup d’émotion chez Paul et ses proches. Il n’a pas oublié d’où il vient, ni son premier club. C’est grâce à lui qu’on a pu acheter certaines choses, des équipements. Et puis le contact n’a jamais été coupé.» Doudou, son meilleur ami, appuie cette notion de fidélité, preuves à l’appui. «Après le Mondial U20 (NDLR : en juillet 2013), on est partis en vacances ensemble. On était trois de Roissy avec Paul. Il nous a invités une semaine à Cannes. On a fait les magasins, du jet-ski, on sortait au resto. Et même sans parler de ça, on va souvent le voir chez lui à Turin, on a toujours des nouvelles, on s’appelle. Mais tout ça, c’est normal.» Tout ça, c’est Paul Pogba. GAGNERA-T-IL UN JOUR LE BALLON D’OR? SUR LES TRACES DE MASOPUST Pour rire et faire sourire, France Football s’est amusé en début d’année à prendre ses désirs pour des réalités. À l’heure des bonnes résolutions, nous avions du coup imaginé le meilleur de 2015, et le plus beau des songes concernait Paul Pogba, vainqueur du Ballon d’Or 2015 après une saison incandescente qui l’avait vu occire quasiment à lui seul le Barça en C1 avant de passer à l’ennemi l’été venu. Il ne reste plus à la Juve qu’à concrétiser ces délires d’après-réveillon, et à son «Francese» d’attirer l’attention des Catalans pour valider les dons de divination de FF. Il faudra au moins cela pour que le rêve se matérialise en ballon tout rond et tout doré, et, pour être lucide, il faudra sans doute encore un peu patienter... «CR7» et Messi se partagent le trophée depuis sept ans, et il faudra aligner bien des planètes pour les éclipser et décrocher la (l)une. Pour réussir là où Sneijder, Iniesta, Ribéry, Neuer ont échoué, des titres, des statistiques et des envolées ne suffiront pas. Il faudra un style, une classe, une personnalité. Révolutionner son poste et le football. Et, plus que tout, rayonner d’un éclat suffisant pour éclipser les deux potentats, qui vont bien finir par décliner («CR7» a 30 ans, Messi 27). À l’heure actuelle, seuls deux joueurs ont la jeunesse, le tempérament, la marge de progression et le génie (si, si) pour y parvenir: Neymar et Pogba. Évidemment, le Français a le désagrément de ne pas être attaquant. Dans l’histoire, seul Josef Masopust a été couronné à un poste similaire... en 1962! Mais si Pogba parvient, comme il le souhaite et comme il le peut, à dépasser sa fonction pour étendre son influence sur le jeu de son équipe, en club comme en sélection, s’il «marque lors des matches décisifs, sans cela c’est impossible», prophétise le Ballon d’Or 1991 Jean-Pierre Papin, alors il réalisera son rêve d’adolescent, celui qui nourrit sa quête de perfection et d’absolu. Il rejoindrait Kopa, Platini, JPP et Zidane au palmarès du Ballon d’Or. EST-IL BANCKABLE? LE JACKPOT EN 2016 Il ne vend rien. Ni barres chocolatées, ni boissons gazéifiées, pas mêmes des pompes à virgule ou à bandes. Dans un monde envahi par la publicité, Paul Pogba a gardé sa virginité. De son plein gré. C’est une volonté de son entourage et de lui-même de n’avoir rien signé, pas même avec un équipementier, là où des ados moins talentueux palpent déjà pour s’afficher dans des frusques qu’ils n’auraient jamais revêtues sans le chèque qui va avec. À en croire Loïc Yviquel, cofondateur de Sportlab, conseil en stratégie marketing dans le sport, «il a tout compris. Qu’est-ce que ça peut lui faire de prendre quelques billets maintenant? Les annonceurs vont se réveiller dans six mois, pour l’Euro, et là, je ne vois pas qui sera une meilleure star en 2016 que lui. Y aura Parker, Riner, Lavillenie parce que c’est une année olympique, et lui. D’ici là, il aura acquis une dimension internationale et, en plus, il a une vraie personnalité. Aucun doute, ce sera une grande star. Il va être très bankable.» A-T-IL DES MODÈLES? LA PHOTO AVEC DJIB Le 6 septembre 2003, Paul Pogba et l’US Roissy-en-Brie jouent au Stade de France en lever de rideau de France-Chypre (5-0). L’occasion pour le gamin de dix ans d’approcher un joueur qu’il admire. «Quand je les ai emmenés au Stade de France, je leur ai expliqué à quel point Zidane était exceptionnel, que c’était une référence, se rappelle Aziz Keftouna, qui a longtemps entraîné Paul à l’USR. Mais, à leur âge, ils avaient d’autres critères.» La coupe de cheveux et les buts spectaculaires, notamment. Forcément, l’attaquant d’Auxerre Djibril Cissé ne peut que leur plaire. Aux abords des vestiaires, Cissé est donc abordé par le petit Paul pour une photo. Il ne le sait pas encore mais, ce jour-là, l’attaquant de l’équipe de France prend la pose avec le futur des Bleus. «Il y a eu aussi Ronaldinho, précise Doudou. C’était son exemple. Au «city-stade», il reproduisait ses dribbles, sa virgule. On était tous ses cobayes, c’est sur nous PEUT-IL DÉPASSER PLATOCHE ET ZIZOU? ROULEZ JEUNESSE! Les Turinois ont de la mémoire. Il leur faut bien des émois pour renouveler leurs souvenirs du passé. Voilà pourquoi, plus d’un quart de siècle après son départ, Michel Platini reste le fiancé préféré de la Vieille Dame. Bien plus que Zinédine Zidane, respecté sans jamais atteindre la cote d’amour de son prédécesseur, vainqueur de deux Coupes d’Europe avec la Juve. C’est la différence majeure avec Zidane, bredouille sur la scène continentale (deux finales perdues), celle qui fait des princes des monarques. Et avec Pogba qui, malgré deux titres de champion lui aussi, n’a pas plus de références en C1. Voilà pourquoi il n’arrivera jamais à dépasser Platoche dans les coeurs turinois, et pourquoi il doit se hâter pour lâcher Zizou. Son départ prochain, cet été ou le suivant, limite ses chances de faire mieux que l’ancien Madrilène. Et lui interdit de doubler le triple Ballon d’Or 1983, 1984 et 1985 au box-office desmythes bianconeri. Pour s’approcher de ces deux légendes, il va d’ailleurs falloir que Pogba entre dans la caste très sélecte des vainqueurs du trophée inventé par FF il y a plus d’un demisiècle. Alors seulement il pourra être comparé aux grands de l’histoire, à l’échelle française et mondiale. Le môme a autant le talent que le temps, il n’a pas vingt-deux ans. À cet âge-là, Zidane n’était pas encore international et Platini n’avait rien gagné. Parti sur des bases inédites (meilleur joueur du Mondial U20, meilleur jeune de la Coupe du monde des grands), Pogba doit garder cette avance car le sprint sera long. Son profil moins offensif et l’omniprésence du duo «CR7»-Leo pourraient le ralentir dans sa course à l’or individuel, mais la place qu’il est en train de s’aménager en sélection et l’émergence d’une génération chatoyante rééquilibrent ses chances. S’il saisit la sienne et qu’il parvient à convaincre les Bleus que la victoire est de nouveau en eux, Pogba laissera une trace semblable à celle de ses prestigieux devanciers. Les Français aussi ont de la mémoire... OÙ VA-T-IL ALLER? LE REAL PAS (ENCORE) CONVAINCU Il en est des transferts comme des enquêtes policières. S’il faut évidemment poser les bonnes questions, encore faut-il qu’elles le soient dans le bon ordre. Donc, avant même de savoir où, il faut d’abord se demander quand Paul Pogba va partir. La presse annonce un départ imminent, c’est évidemment le scénario le plus vraisemblable. Mais il reste un doute dans l’esprit du joueur, qui s’interroge sur la légitimité d’un changement à un an de l’Euro. En pays conquis à la Juve, installé dans un cadre où il se sent épanoui, Pogba prend un risque s’il part. Pas de quoi l’effrayer (il n’a peur de rien), juste de quoi l’amener à réfléchir. Son entourage le pousse plutôt à aller franchir un cap ailleurs, dès cet été. La Juve aussi, consciente qu’elle pourra se payer une équipe complète avec l’argent de son transfert (80, 90, 100M€?), comme elle l’avait fait avec celui de Zidane en 2001. Le club bianconero doit pourtant savoir qu’en 2016, a fortiori après un Euro réussi, Pogba pourrait valoir plus encore, d’autant que certains clubs qui ne sont pas intéressés cet été le seront immanquablement le suivant. Ainsi, le Bayern Munich a certes prévu de renforcer son milieu, mais en 2016, vu l’âge canonique de certains de ses cadres dans ce secteur (Xabi Alonso, Robben, Ribéry, même Javi Martinez...). Pareil pour le Barça, qui est pour l’instant doté au milieu mais a prévu de le renouveler dans un an (Xavi, Iniesta, Rakitic et Busquets devront être relayés). Il reste pourtant de quoi nourrir les enchères dès le prochain mercato, et c’est ce qui motive l’entourage du joueur à lui conseiller de partir, même si tous ne sont pas d’accord sur la destination. Mino Raiola pousse pour Paris, Walid Tanazefti viserait plutôt le Real. Problème, les Madrilènes ne seraient pas aussi pressants que le PSG sur le dossier Pogba, sauf à constater de visu son brio lors d’un affrontement en C1, par exemple. Convaincus par son talent, les décideurs espagnols le sont moins par son tempérament, s’interrogent sur les emportements passagers du Français. Son expulsion face à l’Espagne en bleu a ainsi terni son image. C’était il y a deux ans, Pogba était très jeune... et l’est encore. Voilà pourquoi le Real se dit qu’il a le temps (et l’argent!) pour le récupérer. Paris a moins de temps, mais autant d’argent, à condition de résoudre ses soucis de fair-play financier. Comme l’avait révélé France Football à l’époque, Pogba constitue une priorité depuis près d’un an et demi pour le président Al-Khelaïfi. Il l’est resté. Et l’est redevenu pour Manchester United, qui souhaite rattraper le temps perdu, trois ans après avoir laissé partir le prodige... trois ans après être venu le chercher au Havre. Deuxième club le plus riche au monde (518M€ de revenus la saison dernière), MU a les moyens de signer un chèque à neuf chiffres. City et Chelsea aussi, mais Paul Pogba serait flatté et titillé par la symbolique d’un retour triomphant dans le Théâtre des rêves. Un nom qui lui va si bien... COMBIEN GAGNE-T-IL? (TRÈS) LOIN DU TOP 20 Si le nom de Pogba anime autant les gazettes des transferts, c’est bien évidemment en raison de ce que son talent rapporte, mais aussi de ce qu’il coûte. S’il en fait l’un des joueurs les mieux payés de Serie A (avec son coéquipier Tevez), le salaire du Français à la Juve laisse en effet de la marge aux clubs qui envisagent de le recruter. Il y a un an, Pogba gagnait même le tiers de ce qu’il empoche aujourd’hui, une hausse entérinée dans le cadre d’une prolongation de contrat signée en octobre dernier qui le lie au club turinois jusqu’en 2019. Mais, avec 4,5M€ net d’impôts, Pogba est encore très loin des footeux les mieux rémunérés de la planète. Même les deux millions de primes conditionnées par ses performances et celles de son équipe ne lui permettent pas d’intégrer le top 20 européen, il en est même loin (Matuidi gagne... deux fois plus que lui)! Et, comme il n’a aucun revenu publicitaire, Pogba a tout à gagner à être transféré. Au propre comme au figuré... A-T-IL UN HOBBY CACHÉ? DANSE AVEC LA STAR Petit, Paul Pogba suit ses frères licenciés au club de tennis de table de Roissy-en-Brie. Les frangins se débrouillent bien, lui aussi. Pas au point de sacrifier le foot, mais le môme aime s’amuser et flamber. Au centre de formation du HAC, coéquipiers et éducateurs prennent la raquette et des raclées. Aujourd’hui, fini le ping. Il aime les belles voitures, la Juve lui a donné une Jeep à ses vingt et un ans et il vient de s’offrir sa deuxième Maserati. Il mate des films, mais aussi des vidéos des plus grands joueurs. À Turin, il fréquente un resto brésilien, mange souvent japonais mais passe surtout beaucoup de temps chez lui où, au salon, traîne un ballon. «C’est un gamin, raconte Doudou. Si t’es là, t’es obligé de jouer, et ça peut durer. Tant qu’il ne t’a pas fait un petit pont, il ne lâche pas l’affaire. Ah oui, et c’est un grand danseur, aussi. Mets-lui de la musique africaine, il est impossible à arrêter. Le 30 décembre, à Roissy, pendant deux heures et demie avec ses frères! On devait sortir mais pas moyen.» «Bijou» aussi s’en souvient. «C’était quelque chose, un vrai bordel! C’est leur joie de vivre.» D’OÙ EST-IL ORIGINAIRE? GUINÉE, TERRE DE SES ANCÊTRES Contrairement à ses frères, nés à Conakry, et à ses parents, originaires de Guinée forestière (au sud du pays, à la frontière de la Sierra Leone, du Liberia et de la Côte d’Ivoire), Paul Pogba est venu au monde en France, à Lagny-sur-Marne. Mais le milieu des Bleus est profondément attaché à ses racines guinéennes, africaines. Il tient beaucoup à son deuxième prénom, Labile (prononcez Labilé). Et même s’il se rend moins souvent dans le pays de ses parents que Mathias et Florentin, régulièrement appelés en sélection guinéenne, le Turinois a eu l’occasion d’y aller à plusieurs reprises, dont la dernière il y a deux ans, avec samère et les jumeaux. Ces instants passés sur la terre de ses ancêtres l’ont profondément marqué. EST-IL DÉJÀ UN LEADER EN ÉQUIPE DE FRANCE? LE NATUREL AU GALOP S’il a fini quasiment seul sur une île déserte, Napoléon Bonaparte s’y connaissait pourtant pour mener les hommes. Ainsi disait-il: «On ne conduit le peuple qu’en lui montrant un avenir, un chef est un marchand d’espérance.» C’est d’abord en cela que Paul Pogba est déjà un leader en sélection: escorté par une inébranlable confiance en lui et en son destin, il a rasséréné des Bleus tuméfiés par les accidents de vie... et de bus! Avec d’autres insouciants ambitieux (Varane, Griezmann...), il a poussé les joueurs de l’équipe de France à arrêter d’avoir envie de s’excuser et à s’excuser d’avoir envie. Son discours volontaire pourrait passer pour de la prétention, il ne prétend, en fait, qu’à aller au bout de ses facultés et de ses rêves. C’était le sens de ses déclarations en mai 2013 dans ces colonnes, et c’est ce qui a plu: «Mon but, c’est d’être le meilleur à mon poste, puis le meilleur en Europe, et le meilleur dans le monde. C’est ce que je veux faire, ce que j’ai envie de faire.» Sans doute s’était-il abstenu d’ajouter «et c’est ce que je vais faire». Cette foi en son talent ne l’empêche pas de montrer un vrai respect envers ses coéquipiers, notamment en équipe de France, où il a su observer et écouter avant d’étendre son influence sans ostentation. C’est sur le terrain qu’il a pris de l’importance, dès son premier passage à Clairefontaine en mars 2013, avant que son charisme et son sens du commandement lui permettent de trouver naturellement sa place, une place prépondérante dans le groupe comme dans l’équipe où son profil «box to box» magnifie le milieu tricolore. Il en a toujours été ainsi. Dans chacune des sélections où il est passé, Pogba a été un meneur, techniquement et humainement. Sa dextérité et son abattage soulagent sur le terrain autant que sa bonne humeur et sa bienveillance rassurent en dehors. L’absence de vrai leader charismatique jusque-là en bleu a aussi facilité son émergence ainsi que celle d’un autre jeunot, Raphaël Varane. Ils sont bien évidemment l’avenir des Bleus.
  3. AA conosce bene i suoi omologhi (ha imparato da Giraudo e Moggi). Non è riuscito a far commissariare la FIGC spendendosi solo all'ultimo momento per la candidatura di Albertini - un ripiego - dopo che le dimissioni di Abete lo hanno spiazzato. Dunque, non essendo strategicamente preparato (come Giraudo & Moggi all'epoca di Farsopoli quando vennero a mancare uno dietro l'altro i numi tutelari della società Juventus), ha favorito il golpe-Tavecchio, altra marionetta posta al centro di una politica sportiva ammorbata dalla presenza di Infront. Fossi in AA, visto che i responsabili di questa vergogna restano ancora tutti al loro posto, gli proporrei di dimettersi da consigliere di lega e ri-cominciare l'opera di costruzione. JMO
  4. Non ti riconosco più. E non ti seguo mica per la firma da ghiottoni.
  5. Oggi del Parma non frega niente a nessuno. Qualche anno fa pure i ducali furono salvati in maniera indegna e soprattutto inutile visto che i problemi si sono trascinati lentamente fino a questo sfacelo. Tuttora vengono riconosciuti normalmente puliti i trofei conquistati da quella squadra pompata a dismisura dall'ego criminale di Tanzi e senza remore da parte della stampa sportiva (forse, anzi sicuramente perché fu l'antagonista principale di una Juve mostruosa, altrimenti insuperabile) Dell'ASRoma se ne riparlerà in questi termini quando i debiti con Goldman Sachs avranno raggiunto un nuovo apice planetario.
  6. Fa talmente ribrezzo la combinazione rosa-rosso-bianco che... difficilmente verranno messe in vendita magliette false di quel tipo. Eh, la società Juve deve aver deciso di combattere così il merchandising farlocco.
  7. Noi possiamo scherzarci, ma Infront si compra l'amicizia a suon di accordi commerciali paramafiosi e poi... pufff... torna nel dimenticatoio fino alla prossima grossa occasione.
  8. Non scommetto perché il combinato disposto di Galliani, Lotito, Bogarelli e Beretta è già abbastanza criminale
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